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«[L’épidémie de malaria], c’est comme si on chargeait sept Boeing 747 chaque jour et qu’on les fît délibérément s’écraser sur le Kilimandjaro. » Dr. Wenceslaus Kilama, Chairman, Malaria Foundation International Au début du mois de mars 2003, une épidémie de maladie respiratoire infectieuse grave se développe dans un hôpital français de Hanoï. La maladie semble due à l’arrivée d’un voyageur en provenance de Hongkong. Tous les malades sont membres du personnel hospitalier. Simultanément, d’autres cas sont signalés un peu partout dans le monde. Le 15 mars, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) signale 150 cas suspectés ou malades. Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) encore appelé “pneumopathie atypique” va mobiliser le monde de la recherche et l’attention des médias pendant plusieurs mois. Diverses mesures préventives vont être prises et les laboratoires de virologie du monde entier vont se mettre au travail. Très rapidement l’agent responsable (un coronavirus) va être identifié et son génome séquencé. Des tests sérologiques seront aussi très rapidement développés. La collaboration internationale a porté ses fruits, entraînant rapidement une maîtrise de la maladie. En juillet 2003, l’OMS déclare que la maladie est sous contrôle. On a dénombré 8456 cas dans le monde entier - dont 7 en France - responsables de 809 décès [1] . La mobilisation à laquelle on a assisté est en tous points exemplaire, mais elle amène à se poser quelques questions : sachant que la plupart des morts consécutives à cette épidémie se sont produites en Asie - Chine, Hongkong, Taïwan etc. - pourquoi ces mêmes moyens ne sont-ils pas, de la même manière, mis au service de la lutte contre un ennemi autrement plus meurtrier dans ces régions du monde ? Par comparaison, le paludisme (ou malaria), « est responsable d’environ 500 millions de cas de maladies et d’environ 2,7 millions de décès chaque année, principalement d’enfants de moins de cinq ans et de femmes enceintes [2] ». Ajoutons que 40 % de la population mondiale est exposée à ce fléau, plus particulièrement celle des pays pauvres, puisque 90 % des décès causés par la malaria surviennent en Afrique. Doit-on comprendre que les grands organismes internationaux ne s’intéressent à une maladie que si elle risque de se propager dans les pays riches ? Doit-on comprendre que si le SRAS n’avait présenté aucun danger d’extension dans les pays développés personne ne s’en serait soucié ? Il y a, en France, chaque année, environ 5000 cas de paludisme [3], mais il s’agit de cas « importés » de voyageurs en provenance de région impaludées et qui ne présentent donc aucun danger de dissémination. Qui s’en soucie ? Pourtant le paludisme sévissait aussi autrefois dans nos contrées. Comment a-t-on réussi à l’éradiquer ? Pourquoi n’utilise-t-on pas les mêmes moyens pour débarrasser le reste du monde de ce fléau ? Des moustiques et des hommes [4]Le paludisme est une affection parasitaire fébrile, due à un protozoaire, transmis à l’homme par la piqûre d’un moustique du genre Anophèle. Quatre espèces de parasites du genre Plasmodium sont responsables de la maladie : Plasmodium falciparum (le plus dangereux), Plasmodium vivax, Plasmodium ovale et Plasmodium malariae Une histoire qui commence bien !Le paludisme est signalé dans les écrits les plus anciens. Il est le fléau des terres humides (palus signifie marais) et des régions à l’air vicié (mal aria). Au XVIIe siècle s’ouvre l’aire des soins avec le quinquina dont on extraira plus tard la quinine. Ce n’est qu’en 1880 que l’agent de la maladie sera découvert par Alphonse Laveran un médecin militaire français, prix Nobel de médecine en 1907. Les ravages de la maladie sont effrayants. De grandes épidémies (URSS, Egypte, Etats-Unis) font régulièrement des millions de victimes. Au Mexique, par exemple dans les années 1940 et 1950, c’est l’une des principales causes de mortalité, avec une moyenne annuelle de 24 000 décès et environ 2,4 millions de personnes touchées [5]. On se souvient aussi que la première tentative, française, de construire le canal de Panama, se solda par la mort de plus de 10 000 ouvriers des suites de cette maladie. Heureusement, le Dr Paul Hermann Müller en 1939, découvre l’efficacité insecticide du Dichloro-Diphényle-Trichloro-Ethane (DDT) pourtant connu depuis 1873. Pour cela il recevra en 1948 le prix Nobel de médecine. Lors de la cérémonie de remise, le doyen de l’Institut Karolinska de Stockholm déclarera : « votre découverte [...] est de la plus haute importance pour la médecine. Grâce à vous, la médecine préventive peut à présent combattre de nombreuses maladies transmissibles par les insectes » [6]. Il faut dire que le DDT est alors devenu un produit miraculeux. Pendant la guerre on en a répandu sur les sites de débarquement et les soldats s’en sont couverts pour éviter les poux et autres parasites propagateurs d’épidémies. En 1944, la ville de Naples a été soumise à une pulvérisation massive pour éviter une épidémie de typhus. Dès la fin de la guerre, commence dans 48 pays, sous l’égide de l’Agence Internationale pour le Développement (AID), une vaste campagne de lutte contre le paludisme. DérapagesMalheureusement, le DDT allait être victime de son succès et surtout de son très bas prix de revient. On lui découvre de nouvelles utilisations en agriculture et en sylviculture. On en répand partout à titre préventif et certains utilisateurs n’hésitent pas à doubler ou à tripler les doses. On se souvient de la séquence d’anthologie du film d’Alfred Hitchcock, La Mort aux trousses où un avion épandeur tente de débusquer Cary Grant réfugié dans un champ de maïs en l’aspergeant d’insecticide. Un printemps au silence de mortEn 1962 paraît un livre intitulé Le Printemps silencieux. Son auteur, Rachel Carson, est une romancière connue pour la publication de deux ouvrages populaires fondés sur les beautés de la nature. La parution de son livre a été soigneusement préparée. Des exemplaires provisoires ont été envoyés aux organisations écologiques, aux groupes de femmes, aux clubs de jardinage, ainsi qu’à certains hommes ou femmes politiques, aux journalistes et même à la Maison-Blanche. L’ouvrage est déjà célèbre avant sa parution. Il est enfin livré au public après une publication condensée en trois épisodes dans le New-Yorker. Parfaite opération de marketing. Le livre commence par la description du printemps dans un village imaginaire, où l’on n’entend plus ni insectes, ni oiseaux. Tout est silencieux ! Le DDT a fait son œuvre de mort ! La suite de l’ouvrage mêle des considérations affectives à d’authentiques références scientifiques. « On y trouve pêle-mêle des articles parus dans des revues faisant autorité (The Lancet, Sciences, Nature), des rapports gouvernementaux, des témoignages de la presse régionale, voire des lettres de particuliers. D’authentiques révélations y cohabitent avec des anecdotes d’une naïveté consternante [11] ». Quoi qu’on puisse penser du contenu du livre, force est de constater qu’il atteint largement son but. Les milieux politiques sont interpellés et les industriels de la chimie mis en accusation. Ces derniers, peu habitués à cette époque à ce type de gestion de crise, accumulent les maladresses et nient tout en bloc. En quelques mois, Silent Spring sera vendu à plus d’un million d’exemplaires. Des milliers de lettres affluent au Sénat, au congrès et à la Maison-Blanche. Changement de capAvant la parution de ce livre, la lutte antipaludéenne était principalement financée par l’AID. Dès 1967, l’OMS, sous pression de l’opinion publique, abandonne son projet d’éradication et se fixe un objectif de « contrôle de la maladie là où c’est possible ». En 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la Protection de l’Environnement Américaine interdit le DDT. Plus de fabrication, plus d’exportation et surtout plus de financement pour la lutte antipaludéenne, si elle inclut l’usage du DDT. Les pays pauvres qui manquent des moyens indispensables doivent cesser le combat. Pire, ils se voient menacés en cas de « désobéissance » du blocage de leurs exportations. Le DDT est-il toxique ?Même si, comme nous venons de le voir, le DDT a été interdit sur des critères purement subjectifs et émotionnels, on ne peut que remercier Rachel Carson d’avoir su tirer la sonnette d’alarme et d’avoir initié une prise de conscience du danger que représente l’utilisation abusive de produits chimiques. A la suite de ce livre, de nombreuses études vont être entreprises sur divers produits et en particulier sur les pesticides. En 1992, soit plus de vingt ans après l’interdiction du DDT, émerge la notion de Polluants Organiques Persistants (POP) lors de la conférence de Rio. Le DDT est alors classé avec onze autres pesticides dans la catégorie des POPs [14] . Quelles solutions de remplacement ?Renoncer totalement à l’emploi du DDT nécessite de trouver des solutions de remplacement qui présentent un rapport qualité/prix équivalent. En matière préventive, l’idéal serait évidemment de disposer d’un vaccin. Malheureusement toutes les tentatives de ce côté ont été pour le moment infructueuses. De toute façon, il n’est pas certain que cette solution serait compétitive au niveau du prix de revient. On sait par exemple que les moustiquaires imprégnées d’un insecticide, si elles donnent souvent de bons résultats, sont parfois inadaptées, les populations concernées n’ayant pas les moyens financiers de les acquérir ou ne les utilisant pas régulièrement pour des raisons climatiques ou par négligence. Ne parlons pas des solutions « écologiques » de modification génétique des moustiques ou d’utilisation de divers prédateurs, qui, pour intéressantes qu’elle soient, ne peuvent s’envisager que dans un lointain avenir. Un usage raisonnéDisons-le clairement, personne aujourd’hui ne conteste l’interdiction du DDT en tant que pesticides d’épandage dans l’environnement. Il est incontestable en effet qu’il s’y accumule et peut y causer des dégâts pour la faune. On estime, par exemple, que le DDT est susceptible de provoquer un amincissement de la coquille des œufs de certains oiseaux. Ceci aurait pu entraîner la disparition de certaines colonies d’aigles à tête blanche et de faucons pèlerins. Pourquoi tant de haine ?A la suite du livre de Rachel Carson, le DDT est devenu la bête noire des mouvements écologistes et la cible des opinions publiques, bien conditionnées par des médias toujours friands de catastrophisme. Et maintenant !Provisoirement, la possibilité de poursuivre a minima la lutte antipaludéenne a été préservée. Ne nous faisons pas d’illusions, les pressions des pays riches et celles des grandes multinationales écologistes se poursuivent. Ces pressions seront directes, comme lors des grandes conférences internationales, mais elles peuvent aussi prendre des formes bien plus insidieuses, comme le montre l’exemple de l’Ouganda. Le coûtTerrasser le paludisme reviendrait en fait à soulager d’un énorme poids les économies des pays pauvres. Plutôt que d’idéaliser une aide à court terme aux effets souvent pervers et qui ne gratifie que ceux qui la donnent, ne serait-il pas préférable de fournir à ces populations le moyen de prendre en main leur propre santé et d’enclencher ainsi un cycle vertueux qui leur donnerait une chance d’accéder au développement économique et de voir s’élever leur niveau de vie ? Et s’il y avait d’autres raisons !Le souci de protection de l’environnement est tout à fait respectable, pourtant, dans ce cas, il semble étonnamment excessif. Voilà qui amène à se demander s’il ne constitue pas la tunique honorable à des motivations inavouées, parce qu’inavouables. Si on se munit d’une feuille de papier, sur laquelle on trace deux colonnes, afin d’y inscrire, sans réticence ni fausse pudeur, ceux qui gagnent, ou risquent de gagner, et ceux qui perdent à l’interdiction du DDT, on s’aperçoit très vite que les deux colonnes sont très inégalement remplies. Seuls les pays pauvres, en voie de développement, sont perdants dans cette perspective. L’autre colonne est bien garnie. On y trouve : Une désinformation [42] meurtrièreD’après l’OMS, « La malaria tue un enfant africain toutes les 30 secondes ». Beaucoup de ceux qui survivent à un épisode de paludisme grave peuvent souffrir de dommages au cerveau. Les femmes enceintes et leurs enfants à naître sont également particulièrement vulnérables à la maladie, qui est une cause importante de mortalité périnatale, de faible poids de naissance et d’anémie maternelle. En moyenne, pendant le temps que vous avez mis à lire cet article, environ 1500 personnes sont mortes dans le monde des suites du paludisme. Elles sont mortes victimes de l’union implicite d’industriels intéressés, de malthusianistes cyniques et d’intégristes de l’écologie. Elles sont surtout victimes du fait qu’une désinformation scientifique, pourtant désavouée par les spécialistes, continue à passer pour une vérité dans l’esprit d’un large public. Jean Brissonnet - publié dans SPS n° 260 décembre 2003 [1] Chiffres de l’OMS. [2] World Health Organization, The World Health Report 1996 (WHO, Geneva, 1996), p. 47. http://www.who.int/whr2001/2001/archives/1996/pdf/exsum96f.pdf [3] Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire 11/99 : Enquête nationale de recensement des cas de paludisme d’importation en France métropolitaine pour l’année 1997. (http://www.invs.sante.fr/beh/1999/9911/index.html) [4] Sources : www.pasteur.fr et Encyclopædia Universalis [5] « L’historique du DDT en Amérique du Nord jusqu’en 1997 » http://www.cec.org/pubs_docs/documents/index.cfm ?varlan=francais&ID=115 [6] Les cahiers de Science et Vie n° 64 août 2001. [7] « How Environmentalism Kills the Poor - Malaria and the DDT Story », Dr Roger Bate for Envirobio Conference, 14 novembre 2000 Paris. http://www.fightingmalaria.org/ [8] Harrison, G (1978) “Mosquitoes, Malaria and Man : A History of the Hostilities Since 1880”, p230-231-247, John Murray, London [9] Nature Medicine vol 6, N°7, p. 729-731 juillet 2000. [10] « How Environmentalism Kills the Poor - Malaria and the DDT Story », Dr Roger Bate for Envirobio Conference, 14 novembre 2000 Paris. http://www.fightingmalaria.org/ [11] Les cahiers de Science et Vie n° 64 août 2001. [12] Malaria Foundation International , Fact pack ; http://www.malaria.org/ [13] « How Environmentalism Kills the Poor - Malaria and the DDT Story », Dr Roger Bate for Envirobio Conference, 14 novembre 2000 Paris. http://www.fightingmalaria.org/ [14] La douzaine toxique est constituée de 8 pesticides : l’hexachlorobenzène, le Mirex, le Chlordane, le DDT, l’Endrin, le Toxaphène, l’Heptachlore et l’Aldrin/dieldrin, auquel il convient d’ajouter les PCBs, HCBs, Dioxines et Furanes. [15] « How toxic is DDT ? », Lancet 2000 ; 356 : 267-268. [16] « Recipe for a disaster : a review of persistant organic pollutants in food » Greenpeace research labo., Exeter, mars 20 ??.- cit. http://www.cniid.org/ [17] Métabolite du DDT. [18] « Recipe for a disaster : a review of persistant organic pollutants in food » Greenpeace research labo., Exeter, mars 20 ??.- cit. http://www.cniid.org/ [19] http://monographs.iarc.fr/monoeval/grlistfr.htm [20] Appel de la Malaria Foundation International : http://www.malaria.org/ [21] voir http://website.lineone.net/ mwarhurst/ddt.html [22] World Wildlife Fund, Resolving the DDT Dilemma : Protecting Biodiversity and Human Health (Toronto and Washington DC, 1998), pp. 12-15. [23] D. Roberts et al. (1997), « DDT, global strategies and a malaria control crisis in South America », Emerging Infectious Diseases 3(3):295-302, disponible au site : http://www.cdc.gov/ncidod/EID/vol3no3/roberts.htm [24] Appel de la Malaria Foundation International : http://www.malaria.org/ [25] D R Roberts, S Manguin, J Mouchet ; « DDT house spraying and re-emerging malaria », Lancet 2000 ; 356 : 330-332. [26] WHO Expert Commitee on Malaria, Twentieth report : http://mosquito.who.int/docs/ecr20fr_toc.htm [27] Appel de la Malaria Foundation International : http://www.malaria.org/ [28] Krieger, N, Wolff, M.S. et al. (1994), "Breast cancer and serum organochlorines : A prospective study among white, black and Asian women", Journal of the National Cancer Institute (USA), 86(8):589-99. [29] Il faut pourtant noter que beaucoup de progrès restent à faire dans le domaine des droits de l’homme. Voir à ce sujet le dernier rapport d’Amnesty International. [30] http://www.journeedelafemme.com/JFenOuganda.htm [31] http://www.medecinsdumonde.org/2missions/etranger/pays.cfm ?code=15 [32] « Should the DDT Ban be Lifted ? » Alexander Gourevitch, Washington Monthly ; April 9, 2003 [33] « Should the DDT Ban be Lifted ? » Alexander Gourevitch, Washington Monthly ; April 9, 2003 [34] D R Roberts, S Manguin, J Mouchet ; « DDT house spraying and re-emerging malaria », Lancet 2000 ; 356 : 330-332. [35] D R Roberts, S Manguin, J Mouchet ; « DDT house spraying and re-emerging malaria », Lancet 2000 ; 356 : 330-332. [36] Malaria Foundation International , Fact pack ; http://www.malaria.org/ [37] John Luke Gallup and Jeffrey D. Sachs ; « The economic burden of malaria », Harvard University, Center for International Development, Working Paper n° 52, July 2000 [38] « How Environmentalism Kills the Poor - Malaria and the DDT Story », Dr Roger Bate for Envirobio Conference, 14 novembre 2000 Paris. http://www.fightingmalaria.org/ [39] Appel de la Malaria Foundation International : http://www.malaria.org/ [40] « The discipline of curiosity » (publications scientifiques Elsevier, p. 43. [41] Robert Desowitz, The malaria capers, W.W. Northon, New York, 1992. [42] Dans un article intitulé « Information scientifique et désinformation », Jean-Jacques Duby cite l’interdiction du DDT comme exemple de « Désinformation contrevérité scientifique désavouée par la communauté scientifique ». http://www.cindynics.org/iec-lettre18-desinf.htm Date de création : 04/07/2006 » 17:24
Bibliographie critique
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